Rien ne se perd, tout se transforme ! Après le succès de l’espace Kiliwatch rue Étienne Marcel à Paris, son fondateur Bernard Graff lance Culture Vintage. La nouvelle marque de prêt-à-porter et d’accessoires prend forme grâce au recyclage de fripes et de pièces vintage, l’une des passions du créateur.

Culture Vintage

En effet, « récupération et recyclage de la mode » sont les maîtres mots de Bernard Graff. C’est même la base de son activité car l’homme est à la tête d’Eureka fripe, une référence mondiale de la friperie rétro créée il y a trois décennies ans.

Source inépuisable d'inspiration et de création, le vintage est aujourd’hui à l’origine d’un nouveau projet : Culture Vintage. Avec Philippe Schelker, qui s’occupe du style et de la distribution de la marque depuis deux saisons, le dirigeant a eu l’idée de partir de pièces « collector », de les remettre au goût du jour, et de les vendre sous le nom de Culture Vintage.

« Culture Vintage c’est tout simplement un état d'esprit et des personnes qui aiment les produits de bonne manufacture, très tendance et qui sont vendus à des prix abordables », explique le responsable du style.

Ainsi des chemises fleuries vont se transformer en sacs besace. Des vestes et des parkas 70’s vont être retouchées au niveau du col ou de la taille pour être pile dans la mode du moment ou encore des jeans délavés vont connaître une cure de jouvence avec un bain colorant.

Sacs polochon Culture Vintage

Au final, les pièces sont vendues entre 60 et 80 euros. Positionnée comme une marque écolo, Culture Vintage veut avant tout communiquer sur son côté recyclage.

Et déjà, la formule séduit un peu partout. On trouve Culture Vintage à Paris à l’Espace Kiliwatch, à la Galerie 66 sur les Champs-Elysées, chez Back Street (VIe) et Dealer (XVIIIe), mais aussi à Nice, Marseille, Lyon, Rouen, ... A l’étranger, elle est entre autres présente à Hambourg en Allemagne, ainsi qu'en Italie et à Barcelone en Espagne.